vendredi 11 mars 2016

REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO, BERCEAU DES MATHEMATIQUES ?

Panel de la conférence

Il s’était tenu à Kinshasa, le samedi 11 juillet 2015, dans la salle de conférence de l’hôtel Memling, une conférence débat organisée par la Directrice d’Investing in people, Raïssa MALU, fille du célèbre savant Congolais, le Professeur Ingénieur Civil MALU WA KALENGA, en collaboration avec le Ministère de l’Enseignement primaire, secondaire et initiation à la nouvelle citoyenneté (EPS-INC). Lors de cette conférence, Raïssa  Malu a révélé l’existence d’un os appelé «  os d’ISHANGO » découvert en 1950 en RDC plus précisément aux alentours du lac Edouard à l’Est de la RDC province du Nord Kivu .

Cet os semble être la plus ancienne attestation de la pratique de l’arithmétique dans l’histoire de l’humanité. Cette découverte laisse ainsi croire que cette science(les mathématiques) trouverait ses origines il ya vingt mille ans sur la terre de la RDC.  

Description de l’os
L'os d'Ishango
L’os ou le bâton d’Ishango est un petit os de 10 cm, insignifiant par sa taille, mais constitue une source importante de la connaissance mathématique mondiale. Il comporte plusieurs incisions organisées en colonne. Pour les scientifiques, à l’instar de Raïssa Malu, il s’agit là d’un vestige précieux de l’histoire des mathématiques. « C’est la preuve la plus ancienne de l’utilisation de mathématique de l’humanité on en a pas découvert d’autres ailleurs ». a précisé Raissa.

Cette découverte a permis a permis de reconnaitre une première calculette.  « C’est peut être une calculette lunaire, Il faudrait mieux connaitre la civilisation d’Ishango de cette époque pour arriver à savoir exactement ce à quoi il servait ».


Pour savoir si la découverte du bâton d’Ishango a toute sa valeur scientifique et historique, Raissa a indiqué que cet vos « permet de remettre les origines des mathématiques chez nous en RDC. Finalement on nous replace sur la carte et on est tout aussi important que n’importe quel  autre peuple a souligné Raissa Malu.  

Il est donc important de se battre pour faire inscrire cet os sur la liste du patrimoine de l’UNESCO et plaider pour une utilisation du patrimoine culturel et scientifique Congolais dans l’enseignement.

mercredi 18 février 2015

LA COHÉSION NATIONALE AU DELÀ DES ELECTIONS URBAINES, MUNICIPALES , LOCALES ET PRESIDENTIELLE

Le gouvernement de cohésion nationale
Le chef de l’Etat, Joseph Kabila Kabange, respectueux des engagements et des textes, a mis en place un gouvernement de cohésion nationale en fin décembre 2015.
Quelques semaines plu tard, l’interprétation de l’alinéa 3 de l’article 8 de la loi électorale a divisé la classe politique et a aboutit aux malheureux événements du 19 au 21 janvier2015 que nous déplorons jusqu'à ce jour. A la majorité présidentielle, l’on a observé un silence presque quasi-total de la part des membres du gouvernement issus de l’opposition. Toujours à la majorité présidentielle, l’on a également observé ie mécontentement des certains présidents des partis politiques y affiliés allant jusqu’à démissionner de la plate forme parce que s’estimant déçus du fait d’avoir soutenu le chef de l’Etat aux élections de 2011 en face de ceux là qui, l’envoyaient mourir dans le désert aride, et qui aujourd’hui profitent de ce pouvoir au nom de la cohésion nationale. A ma qualité d’une femme politique, ayant une vision prospective que prône mon parti le BUREC, certaines préoccupations me troublent. lors des prochaines élections, sur le terrain électoral, nul n’ignore que les candidats brandissent toujours le nom du candidat Président de la République qu’ils soutiennent. Le président actuel au nom duquel nos opposants parlent aujourd’hui étant fin mandant, la majorité alignera surement un candidat. Alors ma préoccupation est la suivante : les actuels opposants, membres du gouvernement de Cohésion, soutiendraient le candidat Président de la République de L’opposition ou de La majorité ?
Pour préserver cette cohésion nationale au delà des élections, je suggère qu’on organise un dialogue visant à aboutir à un protocole d’accord entre la majorité et l’opposition. Chacune des parties devant veiller au strict respect du dit protocole.